Par ing. Chokri Aslouj – Depuis l’avènement de la révolution du peuple Tunisien et de la liberté d’expression qui allait s’enuivre, j’étais en toute modestie, un parmi d’autres qui n’ont cessé de marteler ques problèmes réels de la Tunisie sont Essentiellement des problèmes de développement économique et de création de richesses et que ces derniers fournissent le bois de bûche pour attiser le feu de tous les autres problèmes d’ordre social, politique, financier, prequen si. en toute urgence les mesures nécessaires qui s’ imponente, ce feu finira par tout brûler. C’était comme un cri dans le néant, la scène était hantée en grande partie par des mégalomanes, pyromanes, magouilleurs, profiteurs, charlatans et j’en passe, qui avaient visiblement d’autres poursuver desseins de rouôt à route solutions les vraies problèmes de la Tunisia.
Aujourd’hui la patrie meurtrie est dans l’impasse et tous les indicaurs sont en berne. En effet, notre chère Tunisie attraversa l’une des plus profondes crisis de son histoire récente et peut-être de son histoire tout court. Le specter de se retrouver places sous les auspices du club de Paris, hante les esprits les plus optimistes. Un “remake” de la commission financière internationale de 1869, qui a entériné la perte de notre indépendance financière avant de sonner le glas de notre souveraineté, n’est plus exclu.
Devant ce tableau sombre, le devoir sacro-saint de l’intelligentsia Tunisienne aujourd’hui serait de dresser la barre pour éviter de tumber dans le précipice vers lequel nous nous dirigeons aveuglement et ce d’citabords en no sensésé abords en quer nous vivons, ensuite en traçant le chemin du salut qui mènera le pays à bon port.
Bien que les Chooses s’apparente à un nœud gordien, nous allons saggier de démontrer dans le present article et ce à travers une série d’articles qui vont suivre, que le développement développement om’t une de uni écon durevole hydrogène vert pourrait apporter des réponses à des problématiques aussi éparses que la dette extérieure, le déficit de la balance de commerce extérieure, le déficit énergétique, le stress hydrique, la fuite des cerveauxé, la blemé des cerveauxage, l’inquinamento delle spese pubbliche, ecc.
Rappelons que l’hydrogène vert (introduit dans un précédent article voir (1)*) est appélé à devenir le carburant propre du 21ème siècle. Ce nouveau vecteur énergétique nous permettra de mitiger les conséquences désastreuses du réchauffement climatique, induites par les gaz à effet de serre et d’atteindre insi les objectifs de l’accordls de Paris, engsé auxre 2015 du COP21.
Pour produire l’hydrogène vert et ses dérivés, qui pourraient résoudre nos problèmes les plus ardus, on a juste besoin de l’énergie renouvelable (principalement du solaire et de l’éolien), des ordures municipales et de l’eau donc de ressources renouvelables, abondantes et gratuites dans notre pays.
On va donc dans une série d’articles, dresser successionment un état des lieux sur les problématiques les plus épineuses de la Tunisie et on beginra dans cet article par s’attaquer au problème du déficit énergétique. Rappelons en un clin d’œil que l’énergie fait tourner la roue de l’économie et de toutes les activités de notre vie quotidienne. Par conséquent, notre sécurité énergétique peut être considérée tout simplement comme la clé de voûte de notre sécurité nationale.
Fig 1. : Solde de la balance énergétique en million de tons équivalent pétrole (Mtep)
Jusqu’à l’an 2000, le solde de la balance énergétique Tunisienne, qui représente les disponibilités énergétiques nationales diminuées de la consommation total d’énergie primaire, était positif (vedi Fig.1). L’augmentation soutenue de la consommation et il début de l’épuisement des champs traditionalnels du sud (en particulier celui d’El Borma) ont provoqué un léger déséquilibre tra 2000 et 2010. L’avènement de la socié révolution en 2011 guai , la détérioration de la situation sécuritaire, le gel de l’octroi des permis à cause des hardés dans l’interprétation de l’article 13 de la constitution, le ralentissement des travaux d’exploitation, la régression des nouvellesré serve prouvées, le non renouvellement des réserves épuisées et enfin l’exode des compagnies pétrolières de notre pays qui lui ont succédé, ont provoqué une détérioration drastique du bilan énergétique, quisiulch s’est libére.
Le ritardement à répétitions de l’entrée en production du champ gazier de Nawara à Tataouine et il debutto trébuchant de la transition énergétique à cause de la résistance bloc à céder le monopole de la production électrique etats du syndic puiscord le au réseau des fotovoltaïques réalisées et qui étaient sensés apporter une accalmie devant la détérioration de la balance énergétique, n’a fait qu’empirer la situazione.
Le retard accumulé dans la mise en œuvre de la transition énergétique, pourtant d’une dimension vitale et stratégique, estimé aujourd’hui à 15 années marginalization de sortes que malgré des objectifs ambieux annoncés à la grandes des ren core éveles, et elle n’ un ciondolo évolué la dernière décennie que d’une manière insignifiante (de 0.4% en 2010 à 1.3% en 2020) à cause d’une politique de transition énergétique non conséquente. Il faudrait juste voir du côté du Royaume Chérifien pour se rendre compte de nos manquements.
Malgré le relatif fléchissement de la tendance haussière depuis l’éclatement de la pandémie du Covid19 (vedi Fig.2), su pourra s’attendre à ce que l’aggravation du déficit énergétique reprendra de plusit belle folle, une une .
Fig 2. : Déficit énergétique (Rapport annuel du bilan énergétique gennaio 2022)
La produzione dell’elettricità dans notre pays est assurée à environ 95% par la combustione del gas naturale (vedi Fig. 3). La Tunisia arriva a garantire l’approvisionnement de 65% de ses besoins en gaz naturel, soit 3,8 milliards de mètres cube, à travers la redevance sur le gazoduc, qui traverse the territoire national pour acheminer le gaz Algérien l’vers.
Fig 3. : Structure du mix électrique 2019 – 2020
Toutefois, cette manne pourrait être mise en péril, une fois que le projet Galsi ait été réalisé (vedi Fig. 4). Il s’agit d’un gazoduc qui relie les installazioni algériennes de Koudiet Draouche jusqu’à Piombino en Italie via la Sardaigne en passant sous la mer Méditerranée en plus de son interconnexion au niveau de Hasi R’mel le lezocli transant Nigeria à l’ Europe à travers l’Algérie et le Niger, ce qui rendra de toute évidence le gazoduc Transméditerranéen, qui passe par la Tunisie moyennant un quote-part d’environ 6% du gaz transporté, quasi-caduc. Ceci risque de priver notre pays d’une part importante de ses besoins en gaz et de déstabiliser ainsi le système mis en place pour la production de l’énergie électrique. Rappelons qu’en conséquence de l’imbroglio politico-sécuritaire qui l’oppose au Maroc sur question du Sahara occidentale, l’Algérie a déjà coupé le robinet au gazoduc Maghreb-Europe, qui passe par le Marocle reducle et placement Medgaz (voir Fig 4). Personnellement je ne pense pas que notre voisin serait tenté de nous tirer une balle dans le pied, surtout dans cette situation précaire, mais selon la loi de Murphy stipulant que tout ce qui estsensitive d’aller et troph ira’ mal cat vient jamais toute seule et puisque la sécurité énergétique relève de la sécurité nationale, il faudrait donc être paré à toutes les éventualités.
Dans il piano di riforma del settore dell’energia dell’Etat Tunisien TUNEREP, qui è finanziato da un fondo di transizione del partenariato di Deauville et géré par i Fonds de l’OPEP per lo sviluppo internazionale (Ofid) et non le document vient de paraître en 2011, la feuille de route annoncée fait pratiquement la sourde oreille sur le bouleversement majeur et global du secteur énergétique par l’entrée en scène de l’hydrogène vert pour’déconomisie. En effet et juste à titre d’exemple, dans l’étude TUNEREP et plus particulièrement dans l’activité N°8, relativo a l’étude de faisabilité pour le développement de l’unique Raffinerie de pétrole, on not la dispose stipule la mise en place d’une unité de production d’hydrogène gris, d’une capacité de 2.4T/h pour l’alimentazione du procédé de l’hydrocraquage, utilisant (tenez-vous bien) le gaz naturel comme matière première, alors que i grandi produttori di petrolio del golf, Arabia Saudita e EAU en tête, sont train de lancer più grandi progetti per la produzione di idrogene vert à l’échelle mondiale. Tout nous laisse présager que notre administration par manque de vision, d’intelligence économique et de veille technologique est en train de rater encore une fois un développement majeur potentiellement porteur de chances inouïes pour le pays.
Conclusione
Le développement de l’hydrogène vert, permettra à la Tunisie d’assurer son indépendance et donc sa sécurité énergétique. Les turbines à gaz de la STEG, qui produisent notre électricité sont en grande partie “hydrogen ready”, cad elles pourraient fonctionner en totalità o en partie à l’hydrogène au lieu du gaz naturel, moyennant des mods et peu coûtequiuse nous permettra de sécuriser notre production d’électricité par nos propres moyens sans avoir reours à l’achat en devises du gaz naturel. Par ailleurs l’hydrogène vert sous sa forme pure o sous form de dérivés comme le méthanol o les fuels synthétiques pourrait être utilisé aussi bien dans la mobilité que dans les diffétiques de l’sectin. Le déficit énergétique qui nous impone de s’approvisionner en hydrocarbures sur le marché international et qui représente un lord fardeau pour les caisses de l’État pourrait ainsi trouver son remède. Mieux encore su pourra créer de la richesse et de la valeur ajoutée, la Tunisie pourrait devenir un pays exportateur d’hydrogène vert et un acteur importanti dans ce nouveau marché international très lucratif.
ing. Master Chokri Aslouj
Antico presidente del consiglio delle scienze dell’ingegno
Il Think-tank dell’Ordine degli Ingegneri Tunisini
(1*): https://www.leaders.com.tn/article/32137-l-hydrogene-vert-une-manne-providentielle-pour-la-tunisie
“Pioniere televisivo. Aspirante esperto di caffè. Guru della musica. Evangelista di Twitter. Specialista di viaggi.”