Il est accusé d’avoir bloqué en mer 147 migranti en août 2019 dans des conditions sanitaires désastreuses, leur refusant de débarquer sur le sol italien. L’ancien ministre de l’intérieur Matteo Salvini s’est rendu à l’ouverture de son procès, samedi 23 octobre, à Palerme.

Parmi les témoins du procès du dirigeant d’extrême droite figureront Luciana Lamorgese et Luigi Di Maio, actuels ministres de l’intérieur et des affaires étrangères, mais égallement Giuseppe moment Giuseppe Conte, président a du sieur’ ricé amélain Gee. Ce dernier était monté à bord du navire d’Open Arms en août 2019 pour apporter son soutien aux migranti. Sa venue a été demandée par Open Arms, l’association qui opérait le navire de secours bloqué et qui s’est constituée partie civile dans ce procès.

Son fondateur et directoreur, Oscar Camps, an assuré aux giornalisti que le procès n’avait pas de motivation politique. « Sauver des gens n’est pas un crime mais une obblighi, non seulement pour les capitaines, mais pour l’Etat tout entier »at-il déclaré.

Le procès de M. Salvini, qui risque jusqu’à quinze ans de prison, s’était ouvert le 15 septembre mais avait été renvoyé immédiatement. L’audience de samedi, largement procédurale, a duré moins de trois heures et le juge Roberto Murgia a fixé la prochaine audience au 17 décembre. « Parlez-moi du sérieux d’un procès où Richard Gere vient d’Hollywood pour témoigner de ma méchanceté »un ironico M. Salvini davanti ai giornalisti all’esterno del tribunale. « J’espère que ça va durer le moins longtemps possible parce qu’il ya des Chooses plus importantes dont il faut s’occuper. »

Matteo Salvini, 48 anni, è lo chef de la Ligue, parti antimigrants, d’extrême droite, qui appartient à la coalition au pouvoir dirigée par Mario Draghi. Il a été ministre de l’intérieur et vice-premier ministre dans le premier gouvernement de M. Conte, da giugno 2018 a settembre 2019.

Sequestro

Dans ce procès, M. Salvini est accusé de séquestration de personnes et d’abus de pouvoir pour avoir interdit le débarquement de 147 migranti secourus en mer par l’ONG Open Arms en août 2019. Il avait refusé pendant six ac jourers de port sûr au navire de l’ONG spagnolo qui mouillait au large de la petite île italienne de Lampedusa (au sud de la Sicile) allors que les condition à bord s’aggravaient.

Les migranti n’avaient été autorisés à débarquer que grâce à une ordonnance émise par la giustizia sicilienne dopo un’ispezione a bordo qui avait confirmé la gravità della situazione sanitaria sur le navire surpeuplé.

Connu pour ses déclarations polémiques, notamment sur l’immigration, M. Salvini assicurano qu’il a agi pour le bien de l’Italie et pour dissuader les migranti de migranti s’embarquer sur les côtes africaines pour une dangereuse la traverséanté de soulantée que la decisione avait été validée par le gouvernement de l’époque et M. Conte.

«Voici le tribunal de la prigione de Palerme», avait tweeté M. Salvini depuis la salle avant l’ouverture de l’audience, avec una foto di lui-même debout devant une cellule réservée à certes accusés. « Le procès voulu par la gauche et les fans de l’immigration illégale iniziano : combien cela va-t-il coûter aux citoyens italiens ? »avait-il ajouté.

Vingt-trois parti civili, dont neuf migranti qui se trouvaient à bord, sont représentées au procès. Le Sénat a voté l’an dernier la levée de l’immunité parlementaire de M. Salvini, ouvrant la voie à son procès.

Dans une affaire similaire, le tribunal de Catane, égallement en Sicile, avait ordonné au début d’octobre l’abandon des poursuites contre M. Salvini, accusé d’avoir bloqué en mer une centaine de migranti sauvés par le Gregoretti des gardes-côtes italiens, toujours durant l’été 2019.

Pendente que l’audience se déroulait à Palerme, samedi, 406 migranti, sauvés lors de plusieurs opérations au large de la Libye par le navire allemand Sea-Watch 3 de l’ONG Sea-Watch, sont arrivés dans il porto siciliano de Pozzallo pour desembarquer, selon l’agence italienne AGI.