Janie Gosselin
La Presse

Separatisti

Per comprendere la situazione attuale, il faut remonter au début de l’année 2014, alors qu’un soulèvement populaire a chassé le président prorusse du pouvoir in Ucraina. Peu après, en mars, la Russie an Annexé la Crimée, une péninsule du sud de l’Ukraine, à la suite d’une militaire interact et d’un référendum non reconnu par les Occidentaux et le gouvernement ukrainien. En avril, le conflit dans la région du Donbass, dans l’est de l’Ucraina, a éclaté : des séparatistes prorusses réclament le territoire. Le conflit n’est pas réglé, malgré des accords de cessez-le-feu – qui ne sont pas toujours rispettoés – en février 2015. En vertu de l’entente, l’Ucraina devait accorder plus d’autonomie aux rebelles de la région , ce qui ne s’est pas concrétisé. « Je pense qu’un des constats aujourd’hui de la guerre [dans le Donbass] est que la Russie n’a atteint aucun de ses buts : l’Ucraina continua à s’orienter sur l’Occident », dit Alexander Lanoszka, professeur adjoint à l’Université de Waterloo. David Marples, professore presso l’Université de l’Alberta, croit aussi que la Russie cherche maintenant à forcer des négociations pour le Donbass – quitte à montrer les muscle. « L’autonomie dans le Donbass est quelque ha scelto qu’elle pourrait aller chercher », estime-t-il.

Circostanze

Pourquoi une escalade maintenant, alors que le conflit est en quelque sorte gelé depuis sept ans ? Plusieurs facteurs ont pu jouer dans la balance, croient les analysts. Le tensioni sono importanti tra il presidente ucraino Volodymyr Zelensky – qui a banni des chaînes de télévision prorusses l’an dernier – e il presidente russo Vladimir Poutine. « On voit l’Ucraina qui penche vers l’Occident, qui signe des arrangiamenti de coopération de défense avec des pays, comme le Royaume-Uni », souligne M. Lanoszka. Le relazioni internazionali jouent d’ailleurs dans la situazione. « Je pense qu’il ya une percezione de Moscou que l’administration Biden se concentre surtout sur la région indopacifique », ajute M. Lanoszka. Le retrait des États-Unis et de leurs alliés en Afghanistan a pu être interprété comme de la faiblesse, avance M. Marples, qui esttime que la Russie peut vouloir tester les alliances. « Il ya aussi des dissensions parmi les alliés européens, nota M. Marples. La Russie est près determiner son pipeline avec l’Allemagne et l’Allemagne voudrait qu’il entre en activité. Ça pourrait être un bon moment pour la Russie de voir comment l’Allemagne se positionne. »

OTANO

La Russie exige notamment des garanties sur un non-élargissement de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), une Alliance politique et militaire formée de 30 pays – dont le Canada, les États-Unis et de nombreux pays européens. Selon le Traité, une attaque armée contre un membre est « considérée comme une attaque contre toutes les party », ce qui mène à une implication des autres membres. Si le gouvernement de Moscou martèle ne pas vouloir la guerre malgré les quelque 100 000 militaires postés le long de la frontière ukrainienne depuis la fin de 2021, il dit se sentir minacé par une possible de l’OTAN expand, et con port en con port que l’Ucraina se rapproche de plus en plus des Occidentaux. En 2008, l’OTAN s’est déclarée ouverte à accueillir la Géorgie et l’Ucraina come membri. Le processus est cependant long et conditionnel à des réformes. En avril dernier, il presidente ucraino a demandé une accélération de l’adhésion de son pays, sans toutefois l’obtenir. « Je ne pense pas que ça va arriver dans les cinq ou même les dix prochaines années, avance M. Marples. Il n’y a pas d’unité au sein de l’OTAN sur une adhésion de l’Ucraina. » L’esistenza di una cooperazione tra l’OTAN e l’Ucraina, qui s’est accrue depuis 2014, mais sans les obblighi définies pour ses membres.

Attaccamento

L’Ucraina faisait partie de l’Union soviétique jusqu’en 1991. Les liens historiques et culturels restent fortes. Selon un recensement de 2001, 30% des Ukrainiens ont déclaré le russe comme première langue. En juillet dernier, il presidente russo Vladimir Poutine a déclaré qu’il voyait les Russes et les Ukrainiens comme « un peuple, un tout ». « Poutine voit l’Ucraina comme une partie du monde russe historiquement et culturellement, dit M. Marples. Il a tracé une ligne rouge de ce qu’il trouvait accettabile. » « Il ya cet attachement historique de la Russie à l’Ucraina, parfois mal compris, mais il ya aussi le sentimental géopolitique que c’est un pays d’une immense valeur et que si l’Ukra devenait membre d’une Alliance host , ce serait absolument nuisible à la sécurité de la Russie », souligne M. Lanoszka.

Avec l’Agence France-Presse